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L’asymétrie du racisme 

Il existe une forme de racisme qui saute au visage et il y a un racisme qui est plus subtil. On pourra communément parler de macroracisme et microracisme (pour les micro-agressions qu’il engendre). On peut dire que les sociétés modernes sont le lieu où se déroule une guerre qui ne dit pas son nom et dont les soldats ne sont pas conscients. Il y a en somme l’opposition entre des soldats qui pratiquent une guerre conventionnelle alors qu’ils font face à des guerriers utilisant des stratégies de guérilla. Les guerriers sapent le moral ennemi en utilisant les micro-agressions alors que les soldats eux, font appel à la guerre conventionnelle.

Rappel sur la notion de guerre asymétrique : le cas de l’Espagne et des troupes françaises lors des guerres napoléoniennes

Les guerres napoléoniennes sont une série de guerres majeures qui ont eu lieu entre la France et un certain nombre de puissances européennes de 1803 à 1815. Ces guerres ont marqué un tournant dans l’histoire de l’Europe, puisqu’elles ont vu la fin de l’ancien ordre européen et le début d’un nouvel ordre. Au cours de cette période, l’Empire français sous la direction de Napoléon a eu un impact significatif sur le continent européen, les conflits s’étendant loin à la ronde.

L’un des aspects les plus importants de ces guerres était la notion de guerre asymétrique. Ce concept a été introduit pour la première fois par le général espagnol Francisco de Miranda dans son livre “The Principles of War” en 1802. Il a fait valoir que la guerre devrait être menée de manière “asymétrique”, ce qui signifie qu’un côté devrait avoir un avantage beaucoup plus fort sur l’autre. Il a également noté que cela devrait être fait afin de s’assurer que le côté le plus faible ne souffre pas trop dans le conflit.

Ce concept a été mis en pratique par Napoléon pendant les guerres napoléoniennes. En particulier, il l’a utilisé avec beaucoup d’effet en Espagne. Napoléon avait l’avantage de disposer d’une armée beaucoup plus importante et mieux entraînée, ainsi que de meilleurs approvisionnements et équipements. Cela lui a permis de lancer une série de campagnes réussies contre les forces espagnoles. Les forces espagnoles, en revanche, étaient incapables d’égaler les forces françaises en termes de nombre et de ressources.

En outre, Napoléon a également utilisé des tactiques asymétriques afin d’affaiblir davantage les forces espagnoles. En ciblant leurs lignes d’approvisionnement, il a pu limiter leur capacité à réapprovisionner leurs troupes ou à se déplacer dans le pays. En outre, il a également employé des tactiques de guerre psychologique pour démoraliser les troupes espagnoles et user leur moral.

Cette notion de guerre asymétrique a été utilisée tout au long des guerres napoléoniennes, les forces françaises réalisant des gains importants en Espagne, en Italie, en Égypte et ailleurs. Elle a également été un facteur majeur dans la défaite finale des Français par les Britanniques et leurs alliés à la bataille de Waterloo en 1815.

Bien que la notion de guerre asymétrique existe depuis des siècles, elle est devenue encore plus importante dans le monde d’aujourd’hui. Comme de plus en plus de nations acquièrent des technologies militaires avancées, il est devenu de plus en plus important pour elles d’employer des tactiques asymétriques afin d’obtenir un avantage sur leurs adversaires. Il est donc important pour les universitaires et les décideurs de comprendre ce concept et ses implications dans la guerre moderne.

Prenons le cas des États-Unis

Les États-Unis ont des institutions européennes et une population majoritairement d’origine européenne encore aujourd’hui, même si les tendances pourraient s’inverser à l’avenir. Les gens “blancs” pour le dire simplement bénéficient d’un favoritisme symbolique qui est l’héritage de la ségrégation et du pas si lointain esclavage. Cette place de choix crée bien sûr des injustices qui sont vécues par le reste de la population non-blanche. De là se mettent en place des agressions mutuelles. La stratégie de guérilla a toujours été employée par les populations autochtones, du moins celles qui avaient l’avantage du terrain. C’est ici le cas. Les Blancs ont les institutions de leur côté, elles jouent à domicile et c’est donc eux qui pratiquent une forme de guérilla à l’encontre des populations non-blanches. Celles-ci se matérialisent sous la forme de micro-agressions. Les populations non-blanches seraient assimilées à des troupes d’occupation – n’ayant pas le terrain pour elles – (ce qui n’est en réalité pas le cas, les ancêtres des Latinos étant les vrais autochtones américains et les ancêtres Noirs étant pour la plupart arrivés avant une grande partie des Blancs américains dont une part significative serait arrivée aux XIXe et XXe siècle bien après la traite négrière allant du XVIe au XIXe siècle) et pratiqueraient une guerre plus conventionnelle faite de macro-agressions, plus visibles.

Micro vs macro-agressions

Combien y a-t-il de micro-agressions pour une seule macro-agression ? C’est difficile à dire. Y a-t-il une convertibilité entre une macro-agression et une micro-agression ? Si oui, quel en est le taux de change ?

Il est plus facile de montrer des images d’une violente agression dans la rue. C’est mémorable. Cela glace le sang et crée un sentiment de révolte. Pourtant, il existe tout une palette de micro-agressions qui passent en dessous des radars : cette porte non tenue par notre voisin qui vient gifler notre visage parce qu’on ne s’y attendait pas : on sait qu’il savait qu’on le suivait, ces messages de locataires sur airbnb qui brutalement n’ont plus de disponibilité pour la période que nous avions choisie, ce regard fuyant qu’on croise lorsqu’on se rend dans un lieu où on n’est visiblement pas le bienvenu, ces moqueries répétées qui tournent en dérision une partie de ce que nous sommes, bien sûr sur le ton de l’humour, ces centaines de sourires gênés qu’on essuie ou ces regards réprobateurs qu’on subit régulièrement etc. Oui, tout cela passe inaperçu. L’un ne justifie pas l’autre mais comprenez : la violence est un cercle vicieux dont les ramifications ne sont pas toujours claires, chacun de nous a le moyen d’éteindre une mèche, nous pouvons jouer le rôle de soupape.

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